BD. Ca arrive à tous les artistes d’avoir une panne d’inspiration et de manquer d’idées. Sauf que c’est plus difficile à accepter quand on ambitionne, comme Jean-Eudes de Cageot-Goujon, plus connu sous le sobriquet de « Manu Larcenet », de révolutionner l’histoire de l’Art! Fini comme artiste, notre homme est tombé dans la dépression et a été
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THERAPIE DE GROUPE 1. L’étoile qui danse (Larcenet)
BD. Des lecteurs peu attentifs pourraient penser que Manu Larcenet a pris son temps après Le Rapport Brodeck (les 2 tomes sont parus en 2015 et 2016, rappelons-le) pour se mettre au travail sur un autre « grand » projet. Ce serait oublier qu’entre temps, il a collaboré avec Eric Salch sur Les Branleurs, sorti Tattoo Flash
EX ABRUPTO (Larcenet)
BD. Vous avez envie de découvrir une autre facette de Manu Larcenet ? Alors c’est du côté des Rêveurs qu’il faut aller regarder. Car cette petite maison d’éditions (qui sort aussi des livres d’autres auteurs, bien sûr, comme le Jorge Luis Borges de Lucas Nine, tout récemment paru), que l’auteur a créé avec Nicolas Lebedel en
LE RAPPORT DE BRODECK 2. L’indicible (Larcenet)
Brodeck a toujours préféré mordre la poussière que d’être mordu. Déjà dans le camp où il avait été enfermé pendant la guerre parce qu’il était différent, il avait accepté, pour survivre, d’être tenu en laisse par ses geôliers et de manger à quatre pattes dans une gamelle tel un chien. Alors quand les hommes du
LE RAPPORT DE BRODECK 1. L‘autre (Larcenet)
Mais où s’arrêtera-t-il ? On pensait que Larcenet avait atteint le sommet de sa carrière avec Blast …Eh bien on se trompait car visiblement il y aura d’autres sommets comme celui-là dans son œuvre ! Dont Le rapport de Brodeck. Inutile en effet d’attendre de lire le tome 2 pour déjà annoncer que ce diptyque va être
BLAST 4. Pourvu que les bouddhistes se trompent (Larcenet)
Jusque là, les 2 flics ont été relativement patients, laissant Polza raconter à son rythme les évènements qui ont ponctué sa longue fugue qui s’est ensuite transformée en cavale. Mais maintenant, on est entrés dans le vif du sujet et ce que Polza a consciencieusement évité depuis le début, la mort de Carole Oudinot et
JOURNAL D’UN CORPS (Pennac/Larcenet)
Depuis la renaissance de Futuropolis en 2005, la maison d’édition, de livre inspiré en projet ambitieux, a pris des allures de bédéthèque idéale, réunissant ce qui se fait de mieux dans la bande dessinée d’aujourd’hui. David B., Blutch, De Crécy, Davodeau ayant, entre autres (la liste n’est pas exhaustive), rejoint l’éditeur depuis, il ne manquait
BLAST 3. La tête la première (Larcenet)
Si l’on ne sait pas par où commencer une chronique, il y a toujours ce « truc » d’écriture que l’on peut utiliser : parler de ce que l’on a ressenti à la lecture du livre. Et en ce qui concerne ce tome 3 (et toute la série d’ailleurs), cela simplifie alors de beaucoup les choses : oubli de
L’ARMURE DU JAKOLASS (Larcenet)
Alors qu’ils quittent leur troquet paumé favori, René et Jean-Pierre, quelques grammes d’alcool dans le sang, refont le monde et philosophent sur la beauté des espaces intergalactiques, derniers endroits où l’on peut « frôler l’infini du bout des doigts ». Quand soudain, au coin d’une rue, un homme accompagné de 3 extraterrestres apparaît devant eux. Il annonce
BLAST 2. L’Apocalypse selon Saint Jacky (Larcenet)
Les 2 inspecteurs aimeraient bien sûr que ça aille plus vite et que Polza Mancini en vienne aux faits. Car si depuis le début de la garde à vue, le bonhomme coopère et ne se fait pas prier pour parler, il le fait à sa façon, en prenant son temps. Voilà pourquoi les 2 flics