BD. René Tardi, après une longue captivité au Stalag IIB et une interminable marche pour rentrer, est enfin de retour à la maison. Mais les lendemains de guerre ne chantent pas vraiment : les prisonniers, perçus comme responsables de la débâcle, ne sont pas vraiment les bienvenus ; René, sans le sou, est obligé de vivre avec
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LE DERNIER ASSAUT (Tardi/Grange/Accordzéâm)
De C’était la guerre des tranchées à Putain de guerre en passant par La véritable histoire du soldat inconnu : cela fait une trentaine d’années que Tardi raconte l’horreur de la guerre et la barbarie des tranchées ainsi que l’hypocrisie et la culpabilité des groupes industriels qui se sont grassement nourris des profits de l’effort de
MOI, RENE TARDI 2. Mon retour en France (Tardi)
Tardi poursuit son nouveau grand projet : adapter les carnets de guerre de son père (auquel l’auteur avait tout de même demandé d’y ajouter quelques précisions et éclaircissements avant sa mort) écrits en pleine seconde guerre mondiale. Après la violence et la sauvagerie de ses années passées en captivité (4 ans et 8 mois pour
C’ETAIT LA GUERRE DES TRANCHEES (Tardi)
En cette année de centenaire du début de la guerre 14-18, on a déjà eu, et on va encore, avoir droit à nombre de documentaires, hors séries et publications sur la der des ders. La bd n’y échappera pas non plus. Difficile, du coup, de reprocher à Casterman de rééditer « C’était la guerre des tranchées ».
MOI, RENE TARDI, PRISONNIER DE GUERRE AU STALAG II B (Tardi)
Une histoire de famille : voilà ce qu’est ce nouveau récit. Car si Tardi y raconte une nouvelle fois la guerre (mais pour la première fois celle de 39-45), c’est bel et bien parce que son père l’a vécu en tant que soldat et parce qu’elle a marqué à tout jamais sa vie. « Moi, René Tardi,
O DINGOS O CHATEAUX (Manchette/Tardi)
Il l’avait annoncé : Tardi poursuit son adaptation de romans de Manchette. Après « Le petit bleu de la côte ouest » et « La position du tireur couché », peut-être les récits les plus connus (et reconnus) du romancier français, Tardi s’est, avec « O dingos ô châteaux », cette fois attaqué à une œuvre de jeunesse. Car quand Manchette l’écrit,