ALBUM. On comprend pourquoi les australiens de Death Bells (qui habitent désormais aux Etats-Unis) ont choisi d’ouvrir New Signs of Life par Heavenly Bodies: le morceau accroche d’emblée l’auditeur avec ce post-punk épique façon Interpol/Editors qui s’appuie sur des guitares nerveuses et complices. Une très bonne entrée en matière confirmée par Two thousand and Twenty, plus dansant, qui tire davantage vers la new-wave et New Signs of Life, le single, mélodique et efficace. Et si la balade à la New Order A Different Kind of Happy et Shot Down, qui clôt l’album, sont clairement plus faibles (les synthés sont quand même un brin mièvres…), le groupe parvient malgré tout à retenir l’attention (presque) jusqu’au bout, même si on n’est pas super fan du saxo, grâce à The Sun That Shines Forever et Sacred qui reviennent à des bases plus sombres et rock héritées des années 80. A découvrir.
(DAIS Records)
New Signs of Life by Death Bells