La vie de Calay (et de beaucoup de ses compatriotes) est comme les chevaux du vent, ces drapeaux multicolores que l’on trouve autour des stupas des régions himalayennes, malmenés par les intempéries, battus par les vents, condamnés à s’élimer sous l’action du temps…Subissant la rigueur du climat himalayen et la simplicité d’une vie de fermiers…
