Quand on arrive vers 19h, il faut avouer que les différentes salles de mains d’œuvre (seul le rez-de-chaussé est ouvert cette année) sont encore bien vides. L’ambiance fantomatique dans le “dancefloor sauvage” en deviendrait presque glauque. Il faut admettre que la programmation de cette édition était un peu moins imposante que l’année dernière (Frustration, Le…