Ces bruxellois ont repris une vieille tradition des seventies, très en vogue chez les groupes krautrock, psyché ou prog de l'époque (mais souvent oubliée depuis) : tourner son regard, et surtout ses oreilles, vers les Balkans et le Moyen Orient. Ce sont ainsi les mélodies de Oud et les effluves de darbouka qui imprègnent merveilleusement…