On avait cru comprendre avec les 600 pages du très autobiographique "Blankets", son récit précédent, que Craig Thompson n’était pas du style à faire les choses à moitié. Mais cette fois-ci, l’auteur américain s’est lancé dans un défi carrément fou, un récit du genre obsessionnel. D’une ambition graphique époustouflante, d’une ampleur narrative incroyable. Pour aboutir…
